patrimoine -régional-
Avec l’âme d’aficionados, quel patrimoine sauvegarderait-on ?
version temporaire -en cours de restructuration-
I-le bâti régional et les systèmes de construction
Jean-Yves Chauvet s’interroge sur ce que l’on entend par « type » et explique que c’est "le produit d’une sorte d’alchimie entre le volume et les dimensions de la maison, ses matériaux et ses couleurs, ses harmonies et son expression artistique, ses fonctions organiques apparentes. Un type doit se montrer récurrent dans son aire d’extension mais il est susceptible d’évoluer au cours du temps …"
Dans le Grand-Lyon, plusieurs types régionaux se rencontrent :
•les bâtis lyonnais dont certains beaux exemplaires existent toujours -en ville ou en péri-ville de nos jours-
-le plus fameux est sans doute la Maison du Faisan à Gorge de Loup,
qui réunit 2 logis par un préau à arcade en r-ch et par une galerie au 1° étage.
L'habitat traditionnel lyonnaise se caractérise par "2 bâtiments opposés réunis par un hangar autour d'une cour fermée par un haut mur" et est décrit ainsi par le Groupe de Recherche sur l'Histoire, l'Archéologie, le Folklore du Pays Lyonnais qui édite l'Araire : ”Les bâtiments d’habitation et d’exploitation sont face à face. Ils sont réunis par une remise ou un chapit. Un mur percé d’un portail permet l’accès à la cour."
Construction en pierre et pisé (pour les bâtiments d'exploitation) à vérifier
•les bâtis franc-lyonnais : ici à Cailloux s/-Fontaine
•les bâtis du Dauphiné du Velin et de Bèchevelin,
à Montchat et vers la Place du Pont
en pisé -du moins dans les étages à partir de 1856-
à Meyzieu
•le bâti populaire urbain de la période pré-vaïsse,
aux Maisons-Neuves, dans le quartier Morand,et Grand-Rue de la Guillotière
pierres
•le pisé du Velin ou de Bèchenvelin :
à Villeurbanne, à Gerland
suite de ce qu'il y a à sauvegarder.... dans le prochain billet
ce billet n'est pas ferme et définitif = il sera revu et corrigé